
(como en este caso)

Lo hicieron pero con los subtitulos en aleman incustrados
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AVI File Details
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Ya lo he editado. El chiste del subconciente no lo pillo, lo siento.estuvo bien lo de "riptein", te traicionó el subconsciente?
OFF CINEMA. TVE La 2. Jueves, a las 22:30 h
“El Espejo”, una visión de la infancia y el mundo que le rodea
El programa “Off Cinema” emitirá el largometraje “El Espejo” (Ayneh), una producción iraní, de 1997, del director Jafar Panahi, interpretada por Mina Mohammad Khani, Kazem Mojdehi, M. Chirzad y T. Samadpour, entre otros.
*************SPOILER***************
Mina, de seis años de edad, protagoniza una película sobre una niña que se extravía cuando intenta regresar sola a casa al salir del colegio. A Mina no le gusta ser actriz y un día, después de rodar diez horas seguidas, se escapa del rodaje. Curiosamente, se ve obligada a vivir la misma experiencia que la de la niña a la que interpreta.
*************SPOILER***************
El realizador Jafar Panahi, director de “El globo blanco” (1995), se adentra nuevamente en el mundo de la infancia y su visión del entorno que les rodea.
Nacido en 1960 en Mianeh, Irán, Panahi estudió cine en la Universidad de Cine y Televisión de Teherán. Antes de dirigir su primera película hizo algunos cortos y varios trabajos para la televisión iraní y trabajó como ayudante de dirección con Abbas Kiarostami en "A través de los olivos".
Posteriormente a la 1:30 se emitirá La souriante madame Beudet de Germaine DulacLes classiques de l’avant-garde
Une collection de petits bijoux, films expérimentaux de cinéastes de l’avant-garde des années 20 et 30 : les Allemands Hans Richter, Walter Ruttmann, Oskar Fischinger, et la Française Germaine Dulac.
* Rythmes 21
Hans Richter, 3mn, 1921
Musique : Bernd Thewes (2006)
Le peintre Richter est en quête de mouvements pour animer les formes abstraites. Il exprime pour la première fois ses préoccupations rythmiques dans un film.
* Fantômes du matin
Hans Richter, 6mn, 1928
Musique : Martin Smolka (2004)
Les objets se rebellent… Un film dont la forme a médusé Eisenstein, qui ne comprenait pas que l’on puisse tourner “sans avoir un plan dans la tête”.
* Étude cinématographique
Hans Richter, 4mn, 1928
Musique : Cathy Milliken (2004)
Une ronde de formes géométriques, des jeux d’ombre et de lumière… une inspiration puisée dans la danse, la musique et l’art abstrait.
* La symphonie filmée
Walter Ruttmann, 11mn, 1921
Couleur et musique : Max Butting (1921)
Fantômes du matinRuttmann (Berlin, symphonie d’une grande ville) utilise ses talents de peintre et ses connaissances de mélomane. Max Butting explique : “La concordance entre la musique et le film était telle qu’une partie du public prétendait que c’était le peintre qui avait écrit la musique, tandis qu’une autre affirmait que le musicien avait traduit la peinture en notes.”
* Constructions spirituelles
Oskar Fischinger, 6mn, 1927
Musique : Günther Lege (2004)
Deux hommes s’enivrent dans un bar… Un film virtuose pour lequel Fischinger a inventé une technique : des figures modelées dans une fine couche de glaise puis posées sur une plaque de verre en dessous de la caméra.
* Étude n° 7
Oskar Fischinger, 3mn, 1930/31
Musique : Danse hongroise n° 5de Brahms
Étude n°7 joue sur le contraste entre un déchaînement de lignes épurées, des effets de perspective et des courbes très Art nouveau.
* "Étude cinématographique" de Hans Richter (1888-1976)Composition en bleu
Oskar Fischinger, 4mn, 1935
Musique : Les joyeuses commères de Windsor d’Otto Nicolaï
Après avoir vu ce film, Lubitsch plaidera la cause du réalisateur auprès de la Paramount, et Fischinger partira travailler aux États-Unis.