François Truffaut [30/10/2004] (Director)

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el_cazador_oculto
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Mensaje por el_cazador_oculto » Mar 26 Sep, 2006 02:58

Muchísimas gracias zzzpariszzz y mzaroff.
Saludos :wink:

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gulowe
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Mensaje por gulowe » Mar 03 Oct, 2006 20:13

Aquí podreis encotrar buen material sobre el artista:
encadenados truffaut

elumbriel
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Mensaje por elumbriel » Dom 08 Oct, 2006 16:06

RedmonBarry escribió:Primero contesto a Tragamuvis, si te interesa te puedo compartir los subs de Vivement Dimanche, e incluso el audio castellano (por si te quieres hacer un dual).
Y segundo, por petición de Dick_Laurent os dejo compartido el audio castellano de Una chica tan decente como yo, podeis quitarle el audio italiano y cambiarlo por este (de dual q hay), y con los subs q subi ya teneis otro dual.
Os dejo el elink aqui abajo, tened paciencia pq estos archivos me suselen tardar dias en empezar a bajar, más cuando lo baja poca gente (como sera este caso).

ed2k linkUna.chica.tan.decente.como.yo.(1973).Truffaut.(Spanish.dvd.audio).mp3 ed2k link stats
Ya se que ha pasado mucho tiempo desde que lo ofreciste, pero ¿podrías compartir el audio de nuevo? Muchas gracias.

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gulowe
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Mensaje por gulowe » Mié 11 Oct, 2006 11:24

Los subs de domicilio conyugal están incompletos..
Algún alma caritativa que los tenga completos los puede publicar?

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Zic0
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Mensaje por Zic0 » Mié 08 Nov, 2006 15:32

El eLink de L'enfant sauvage es un .avi sin audio. El bueno es:

ed2k linkEl Pequeño Salvaje(Truffaut)(Dvdrip5.1.1 Dual)Rotondas.ogm ed2k link stats

Bresson
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Mensaje por Bresson » Vie 10 Nov, 2006 09:13

en un hilo de DIVXclasico vi una vez un enlace a una pelicual muda o rusa parlante que se dice inspiro mucho el esilo de JULES ET JIM
laguein sabe caul es?

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Bela_Karloff
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Mensaje por Bela_Karloff » Vie 10 Nov, 2006 09:51

No lo sé, pero creo recordar que decían que The Naked Dawn de Ulmer :wink: también inspiró Jules et Jim...

Bresson
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Mensaje por Bresson » Dom 12 Nov, 2006 11:04

gracias Bela es cierto lo de naked ;-).. pero hay otra mas que es rusa y capaz muda. Truffouanianso levantaos por favor!!!

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evol
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Mensaje por evol » Mié 07 Mar, 2007 12:46

bluegardenia escribió:El artículo de Javier Cercas en el suplemento de El País de hoy está dedicado a la biografía, editada por Plot en español, de Truffaut; no la he leído pero pinta bien:
Ficha en CasadelLibro
El artículo escaneado:
Imagen
Gracias por el artículo, Blue. He comprado recientemente esa biografía y por lo que llevo leído es una maravilla para cualquier fan de Truffaut.

saludos :wink:

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Meowth
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Mensaje por Meowth » Lun 09 Abr, 2007 04:57

en cinematik están compartiendo, gratis, cuatro DVD's criterion de la saga de antoine doinel :)
DVDQuorum ---> para quienes quieran un tracker en español de DVD's

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Wagnerian
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Mensaje por Wagnerian » Mar 21 Ago, 2007 17:15

VOSE de 'Le Chambre Verte' aquí:

viewtopic.php?p=693563#693563
'...y esas piernas color París.'

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Jma32
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Mensaje por Jma32 » Sab 22 Sep, 2007 19:50

La Habitación Verde DVDrip dual con subtítulos

adrian mole
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Mensaje por adrian mole » Dom 18 Nov, 2007 13:03

channel arte

François Truffaut parle de ses obsessions, de ses choix, du cinéma, de la vie. Vingt ans après sa mort, portrait de Truffaut par lui-même à travers des images de tournage, des entretiens… Et les témoignages de Catherine Deneuve, Woody Allen, Jean-François Stévenin, Fanny Ardant, Arnaud Desplechin…


François Truffaut, une autobiographie

Documentaire d'Anne Andreu
(France, 2004, 1h18mn)
Coproduction : ARTE France, Ina Entreprise
Sélectionné au Festival de Locarno 2004

François Truffaut, une autobiographie est un portrait de l’artiste en bleu de travail, bâti sur les traces écrites et filmées laissées par le cinéaste… Gros plan sur un homme passionné, "intense" – comme l'exprime Madeleine Morgenstern, sa femme.

À travers ses vingt et un longs métrages, François Truffaut a composé une sorte d'autoportrait. Tout ce qu'il a écrit, filmé, imaginé, passait par le filtre de ses émotions. Dans ce documentaire construit autour des nombreuses traces laissées par le cinéaste (interviews, images de tournages, photos, lettres, scénarios…), il occupe la première place. Et face à lui nous sommes (à nouveau) conquis, submergés par son charme.

Anne Andreu fait avant tout parler Truffaut. On se remémore ainsi les phrases lumineuses d'un homme qui a réfléchi toute sa vie sur la création ("Les films respirent par leurs défauts"…). On entend sa voix, cette voix blanche qui le faisait jouer "à la limite du faux" (dixit Nathalie Baye), ce phrasé rapide, ces mots précis. L’homme qui aimait les femmes aimait aussi les livres : la caméra s’attarde sur son écriture ronde, sur les épreuves des scénarios, les plans de tournage, les courriers…

Mais le film est aussi un portrait à plusieurs voix, et donne la parole à des gens qu'on entend rarement parler de Truffaut : Woody Allen, Milos Forman, le scénariste Jérôme Tonnerre. Catherine Deneuve et Fanny Ardant, en voix off, réagissent aux images et rejouent des dialogues. Jeanne Moreau, Claude Berri, Jean-François Stévenin parlent du Truffaut qu'ils ont connu. La nouvelle génération a également la parole à travers le témoignage d'Arnaud Desplechin. "Plus qu'un monument à la gloire du cinéaste, l'objectif de ce film était de prendre la mesure de l'héritage, en révélant la filiation cachée mais combien présente qui relie François Truffaut au public d'aujourd'hui", explique Anne Andreu.

À travers ses films, Truffaut exprimait son obsession des sentiments. Jeanne Moreau parle d’un "élan de spiritualité". En 1978, dans La chambre verte, il évoquait le rapport des vivants aux morts. "On peut aimer des morts, on peut se fâcher avec eux", disait-il. La première image du film d'Anne Andreu est celle de l’enterrement du réalisateur, le 24 octobre 1984, au cimetière Montmartre à Paris. La "chambre verte" s’enrichit aujourd’hui d’un objet vivant.


"Tout en nous appelle le définitif, alors que la vie est provisoire. Donc si on fait, comme moi, un cinéma affectif, on ne peut filmer que des déchirements."
(François Truffaut)


Entretien avec Anne Andreu, réalisatrice du film « François Truffaut, une autobiographie »

-Pourquoi ce titre : « Truffaut, une autobiographie » ?

Nous voulions nous plonger dans les archives du cinéaste, et lui donner au maximum la parole. C’est Truffaut par Truffaut, en quelque sorte. Le fonds Truffaut, l’énorme somme de ses archives écrites, réunie à la Bifi (Bibliothèque du film), est un trésor magnifique, qui est disponible au public depuis peu. Cela représente plus 600 cartons : les états de scénarios, les critiques, la correspondance…

-Dans la fabrication de votre film, vous pouviez utiliser peu d’extraits de film, mais...

Mais on a fait en sorte de contourner l’obstacle ! De toute façon, je n’aurais jamais souhaité faire un medley de films. En l’occurrence, le recours aux extraits étant limité pour des raisons de budget, j’ai demandé à Catherine Deneuve de relire la fin de La sirène du Mississipi, comme Fanny Ardant relit la fin de La femme d’à-côté. Elles ont été très émues, c’est un retour dans le temps de 20 ou 30 ans…
Autre manière de contourner l’obstacle : j’ai passé beaucoup de temps à l’INA pour retrouver des reportages réalisés sur les tournages de Truffaut, sans compter des images d’entretiens que j’avais faits à l’époque avec lui. En particulier au moment de la sortie de Rencontre du troisième type, où il joue, et de La chambre verte.

-La première image du film est marquante : celle de l’enterrement de Truffaut, la foule, le discours de Claude de Givray, Jean-Pierre Léaud au premier plan, décomposé et méconnaissable… Et vous superposez à ça la voix du réalisateur disparu.

C’est un image que nous avions passée en ouverture de « Cinéma, cinémas » [magazine co-produit par Anne Andreu sur Antenne 2 dans les années 80, NDLR] la semaine de sa mort. Tout y est : la brutalité de cette mort, le déchirement de ceux qui sont là, et évidemment Jean-Pierre Léaud, dont une partie de la vie s’arrête avec la disparition de Truffaut. Le texte magnifique de La nuit américaine arrive par dessus. La souffrance est sur l’image, mais on entend Truffaut qui nous incite à l’énergie et au courage.

-Fluide et accessible, votre film s’adresse aussi aux non-spécialistes…

Je ne voulais pas faire un film uniquement pour les cinéphiles et les contemporains de Truffaut. C’est pour ça que je voulais absolument rencontrer Arnaud Desplechin. Il fait partie des réalisateurs de sa génération qui se réfèrent le plus à Truffaut. Côté jeune talent, il y a aussi Vincent Delerm, qui nous a fait ce cadeau d’une chanson originale.
Pour que ce film soit fluide, je voulais aussi quelques grandes stars. Catherine Deneuve, Fanny Ardant, Jeanne Moreau, Nathalie Baye… Et je cherchais aussi un témoignage que personne n’était jamais allé chercher. Serge Toubiana, biographe de Truffaut, m’a soufflé le nom de Woody Allen. Je lui ai écrit et il m’a répondu immédiatement. Il met François Truffaut sur le même plan que Fellini et Kurosawa.

-Autre personne rare présente dans votre film : le scénariste Jérôme Tonnerre, qui a une histoire très personnelle avec Truffaut.

Quand il avait treize-quatorze ans, il est allé voir Truffaut, comme ça, sans rendez-vous, à son bureau. Il lui a dit qu’il voulait « faire du cinéma ». Truffaut lui a répondu : « Vous devriez devenir scénariste ». Et c’est ce qui s’est passé, une dizaine d’années plus tard ! Entre temps, Tonnerre et Truffaut s’étaient revus, il y avait eu de nombreux échanges de lettres. Et puis le cinéaste est mort. Dans une de ses dernières lettres, que Jérôme Tonnerre nous a apportée et qu’on voit à l’image, François Truffaut envisage un travail en commun : « Si inventer, construire, imaginer, rédiger vous convient (ou vous conviennent ?), alors nous pourrons travailler ensemble, un de ces jours (…) ». Mais ça n’a pas eu lieu.
J’ai réussi à convaincre Jérôme Tonnerre d’apparaître à l’image, et nous l’avons filmé « en situation », arrivant à la maison de production de François Truffaut, les Films du Carrosse, comme il l’avait fait trente ans auparavant. C’est très touchant.

-De l’émotion passe au travers de nombreuses interviews…

On a rencontré Jean-François Stévenin, qui a travaillé avec François Truffaut sur six films. Et souvent, quand il parle de lui, les larmes ne sont pas loin. Jeanne Moreau aussi était très émue. Avec certaines personnes, nous devions arrêter l’entretien, à cause de cette émotion, qui reste très présente 20 ans après la disparition de Truffaut.

-Pourquoi cet homme reste-t-il si présent, tant d’années après ?

C’est cette « intensité », dont parle sa femme, Madeleine Morgenstern, qui le rendait si séduisant et qui continue de rayonner ?D’une part, Truffaut est mort jeune. Donc la légende est forte. Nathalie Baye parle de « mythe ». Il a fait 21 films en 25 ans, et puis il a laissé un vide. On est obligé de rêvé sur ce qu’il n’a pas fait. C’est le grand absent de la Nouvelle vague.
D’autre part, il incarne une époque dorée : celle d’une génération de cinéastes qui ont tout réinventé. Et celle où l’on faisait un film par an, où le cinéma était encore une chose légère.
Et puis, ses films eux-mêmes, qui sont ceux des vrais gens, du quotidien, touchent tout le monde. Il osait des histoires simples. L’initiation, l’amour… Le cinéma plus fort que tout.


Propos recueillis par Thomas Baumgartner


ed2k linkTruffaut-Biographie par Anne Andreu (2005).avi ed2k link stats

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evol
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Mensaje por evol » Dom 18 Nov, 2007 20:42

Gracias, adrian! Supongo que estará en francés y sin subtítulos, ¿no?

saludos :wink:

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Wagnerian
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Mensaje por Wagnerian » Vie 14 Dic, 2007 11:17

Link al Criterion de 'Les 400 coups':

viewtopic.php?p=718390#718390

Link al hilo con el nuevo Criterion de 'Tirez sur le pianiste':

viewtopic.php?p=718283#718283
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marlowe62
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Re: François Truffaut [Actualizada 30/10/2004] (Director)

Mensaje por marlowe62 » Mié 24 Mar, 2010 12:46


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RomyDelon
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Re: François Truffaut [30/10/2004] (Director)

Mensaje por RomyDelon » Vie 29 Mar, 2013 23:23

Muchísimas gracias. Me encanta Truffaut, un genio francés.
ImagenImagenImagenImagen
#RomyDelonToujours