¿Cual fué el gran movimiento cinematográfico del siglo XX?
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¿Cual fué el gran movimiento cinematográfico del siglo XX?
Mi voto va para el Neorrealismo Italiano.
Saludos.
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Mi voto para el Expresionismo alemán, ex aequo con el Neorrealismo. Pienso que son las dos corrientes o movimientos que más han influido en el cine. El votar al Expresionismo ha sido por motivo cronológico.
Un saludo.
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"Pueblos libres, recordad esta máxima: Podemos adquirir la libertad, pero nunca se recupera una vez que se pierde" (Jean Jacques Rousseau)
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Pues allá va mi voto para la nouvelle-vague, esa panda de críticos de cine metidos a directores que, de golpe, inventan el cine moderno, el cine tal y como se entiende hoy día.
Esto es algo que escribí para mis opos acerca de la Nouvelle Vague. Como son en francés y soy un vago no pienso traducirlo:
"Il faut attendre la fin des années 50 pour trouver la «nouvelle vague», qui est une vraie révolution ; de jeunes cinéastes comme Louis Malle, Jean Luc Godard, François Truffaut, Bertrand Tavernier, Jacques Rivette, Claude Chabrol ou Eric Rohmer, écrivent eux-mêmes leurs films, rompent avec l'esthétique fabriquée des studios, tournent avec des petits budgets, dans un style réaliste et léger qui essaie de comprendre les mœurs de la société française. On signale À bout de souffle de Godard, Les 400 coups de Truffaut.
Cette rupture entre cinéma de studio et cinéma extérieur est illustré notamment dans La nuit américaine de François Truffaut (1973) : dans une mise en abîme, le film nous montre la réalisation d'un film avec caméra sur grue et décalages (tournage d'une scène d'hiver en plein été ; d'une scène de nuit en plein jour, la fameuse nuit américaine) ; Ferrand, le réalisateur (incarné par Truffaut lui-même), admet que ce film est sans doute le dernier à être tourné de cette manière, sorte de testament de "l'ancien cinéma" et de manifeste de la "Nouvelle Vague".
Par ailleurs, les réalisateurs brisent certaines conventions, notamment les conventions de continuité. C'est ainsi que dans À bout de souffle, Godard coupe les blancs dans un dialogue. Il s'agit de provoquer, mais aussi de représenter une face de la "réalité" : les souvenirs que l'on a d'un moment de sa vie sont partiels, tronqués, et lorsque que l'on regarde un album photo, les souvenirs viennent dans le désordre avec des "sauts dans le temps".
L'arrivée d'une nouvelle génération d'acteurs (Jean-Paul Belmondo, Brigitte Bardot, Anna Karina, Jeanne Moreau...) et de techniciens, le soutien d'une poignée de producteurs-mécènes furent aussi des éléments déterminants. Le cinéma français n'avait pas su renouveler ses acteurs depuis l'entre-deux guerres, et l'apparition de nouveaux visages permit notamment de toucher le jeune public.
Jean-Paul Belmondo incarne, grâce à la direction de Godard, le visage masculin de la Nouvelle Vague. Il est l'acteur type de ce mouvement par son physique qui ne répond pas aux critères du jeune premier classique et par un jeu qui se veut très spontané et une diction qui sont plus proches du réel du spectateur de 1960. Son rôle majeur est celui de À bout de souffle ou celui de Pierrot le fou toujours sous la direction de Godard, qui lui offrent le statut d'acteur vedette.
Jean Seberg est l'héroïne de À bout de souffle ; contrairement aux actrices classiques, elle apparaît plutôt comme une "antifemme" avec ses cheveux courts et son allure androgyne. Mais c'est surtout avec Anna Karina que Godard va enrichir sa palette de rôles féminins. Elle tourne dans 7 films majeurs de Godard (Pierrot le fou, Alphaville) et même lorsque ce dernier dirige Brigitte Bardot dans Le mépris, celle-ci porte, durant une séquence fameuse du film, une perruque brune qui n'est pas sans rappeler l'allure d'Anna Karina. De plus, comme Jean Seberg, Anna Karina contribue à prolonger l'attraction séductrice du français prononcé avec un accent étranger."
Esto es algo que escribí para mis opos acerca de la Nouvelle Vague. Como son en francés y soy un vago no pienso traducirlo:
"Il faut attendre la fin des années 50 pour trouver la «nouvelle vague», qui est une vraie révolution ; de jeunes cinéastes comme Louis Malle, Jean Luc Godard, François Truffaut, Bertrand Tavernier, Jacques Rivette, Claude Chabrol ou Eric Rohmer, écrivent eux-mêmes leurs films, rompent avec l'esthétique fabriquée des studios, tournent avec des petits budgets, dans un style réaliste et léger qui essaie de comprendre les mœurs de la société française. On signale À bout de souffle de Godard, Les 400 coups de Truffaut.
Cette rupture entre cinéma de studio et cinéma extérieur est illustré notamment dans La nuit américaine de François Truffaut (1973) : dans une mise en abîme, le film nous montre la réalisation d'un film avec caméra sur grue et décalages (tournage d'une scène d'hiver en plein été ; d'une scène de nuit en plein jour, la fameuse nuit américaine) ; Ferrand, le réalisateur (incarné par Truffaut lui-même), admet que ce film est sans doute le dernier à être tourné de cette manière, sorte de testament de "l'ancien cinéma" et de manifeste de la "Nouvelle Vague".
Par ailleurs, les réalisateurs brisent certaines conventions, notamment les conventions de continuité. C'est ainsi que dans À bout de souffle, Godard coupe les blancs dans un dialogue. Il s'agit de provoquer, mais aussi de représenter une face de la "réalité" : les souvenirs que l'on a d'un moment de sa vie sont partiels, tronqués, et lorsque que l'on regarde un album photo, les souvenirs viennent dans le désordre avec des "sauts dans le temps".
L'arrivée d'une nouvelle génération d'acteurs (Jean-Paul Belmondo, Brigitte Bardot, Anna Karina, Jeanne Moreau...) et de techniciens, le soutien d'une poignée de producteurs-mécènes furent aussi des éléments déterminants. Le cinéma français n'avait pas su renouveler ses acteurs depuis l'entre-deux guerres, et l'apparition de nouveaux visages permit notamment de toucher le jeune public.
Jean-Paul Belmondo incarne, grâce à la direction de Godard, le visage masculin de la Nouvelle Vague. Il est l'acteur type de ce mouvement par son physique qui ne répond pas aux critères du jeune premier classique et par un jeu qui se veut très spontané et une diction qui sont plus proches du réel du spectateur de 1960. Son rôle majeur est celui de À bout de souffle ou celui de Pierrot le fou toujours sous la direction de Godard, qui lui offrent le statut d'acteur vedette.
Jean Seberg est l'héroïne de À bout de souffle ; contrairement aux actrices classiques, elle apparaît plutôt comme une "antifemme" avec ses cheveux courts et son allure androgyne. Mais c'est surtout avec Anna Karina que Godard va enrichir sa palette de rôles féminins. Elle tourne dans 7 films majeurs de Godard (Pierrot le fou, Alphaville) et même lorsque ce dernier dirige Brigitte Bardot dans Le mépris, celle-ci porte, durant une séquence fameuse du film, une perruque brune qui n'est pas sans rappeler l'allure d'Anna Karina. De plus, comme Jean Seberg, Anna Karina contribue à prolonger l'attraction séductrice du français prononcé avec un accent étranger."
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Es que si exceptuamos al dogma, todos han sido movimientos importantes y que han hecho enormes aportes al cine. Ya me estaba alarmando por la falta de argumentación en favor de la nouvelle vague, esperando que alguien se acuerde del realismo poético francés, del cine independiente de USA y del free cinema inglés (no hay fanáticos de Carné, Cassavettes y Lester?)
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Voy a argumentar mi postura... no cabe duda que los nuevos movimientos que van saliendo son influenciados (en mayor o menor medida) por sus antecesores, pero a mi entender, el Neorrealismo es el primer movimiento que "humaniza" al cine, hace al espectador partícipe de la historia que está viendo, pues esa historia es la suya, la de su vecino, la de su familia... historias reales sin poesias, sin metáforas, sin finales bonitos... un cine que entiende todo el mundo, contando la pura y dura realidad en la que viven... este movimiento nunca pasará de moda, aún hoy en dia, se siguen haciendo películas con toques Neorrealistas por todo el mundo.
Al margen de esto, la encuesta original era mas extensa (lastima que aquí no se puedan poner mas de 10 opciones) y tuve que quitar estos otros movimientos.
Referente al movimiento introspectivo Sueco... creo que no se le debería considerar como un movimiento propiamente dicho, (pero tampoco quería dejar el gran cine Sueco fuera de esta encuesta) a mi modo de ver, se debería hablar de directores suecos... Bergman en si mismo, ya es un movimiento cinematográfico.
Saludos.
Al margen de esto, la encuesta original era mas extensa (lastima que aquí no se puedan poner mas de 10 opciones) y tuve que quitar estos otros movimientos.
Comedia realista (España, 1950/60)
Nueva corriente del cine (Hungría, 1960/80 )
Cinema novo (Brasil, 1960/80)
Nuberu bagu (Japón, 1960/80)
Nueva corriente del cine (Hungría, 1960/80 )
Cinema novo (Brasil, 1960/80)
Nuberu bagu (Japón, 1960/80)
Referente al movimiento introspectivo Sueco... creo que no se le debería considerar como un movimiento propiamente dicho, (pero tampoco quería dejar el gran cine Sueco fuera de esta encuesta) a mi modo de ver, se debería hablar de directores suecos... Bergman en si mismo, ya es un movimiento cinematográfico.
Saludos.
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Mi voto para nouvelle vague. El cine independiente y el free cinema, creo que tienen unos valores muy parecidos a la nouvelle vague, y que su principal diferencia es del lugar (Y su correspondiente cultura). En cualquier caso, aunque unos movimientos los conozca mejor y otros peor, sí me parece que todos han tenido su importancia, y que haya votado a uno no quiere decir que los demás no lo merezcan. De los otros movimientos que cita droid, el único que conozco más o menos es la comedia realista. ¿Podrías, droid, recomendarme películas de los otros tres? Saludos y gracias.
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Pues yo voy a votar al cine independiente USA. Básicamente porque es el que mejor conozco de los que hay en la encuesta y del que más películas he visto, del resto he visto muy pocas o casi ninguna en algunos casos
También porque algunos de mis directores favoritos de la actualidad empezaron en esa época o tienen influencias de la misma.
Únicamente matizar que mi voto en realidad solo es para el cine independiente hasta 1980, no hasta la actualidad como dice la encuesta, ya que ese movimiento acabó en esa fecha para regresar años después pero de otra manera.

También porque algunos de mis directores favoritos de la actualidad empezaron en esa época o tienen influencias de la misma.
Únicamente matizar que mi voto en realidad solo es para el cine independiente hasta 1980, no hasta la actualidad como dice la encuesta, ya que ese movimiento acabó en esa fecha para regresar años después pero de otra manera.
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Yo iba a votar por el surrealismo, pero ESTA CORRIENTE se ha ganado mis últimas simpatías

El Gabinete del Doctor Caligari-xvid+subt esp+arreglado audio en mp3.avi 


Estos son mis principios; si no le gustan, tengo otros (G. Marx)
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Mi voto no hace falta decir para quien va, expresionismo para el que no se haya cruzado conmigo por estos lares, afortunadamente a través del p2p he tenido acceso a un abanico amplio de las obras pertenecientes a esta corriente. Por otro lado es el movimiento cinematográfico que mejor conozco, en otros he de ponerme las pilas.
Saúdos
PD: abyacar hay una opción mejor que esa donde los intertítulos son como mínimo un insulto:
Saúdos
PD: abyacar hay una opción mejor que esa donde los intertítulos son como mínimo un insulto:
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Me parece un tanto compelejo responder tal pregunta, sobretodo por la simplificación que cualquier clasificación implica. Por otro lado, a mi entender, sin el neorralismo sería imposible cualquier corriente de las posteriores. Claro, que en este sentido también se podría decir lo mismo respecto a griffith, murnau, o welles. Pues sin ellos, el cine tal como lo conocemos hoy no existiría.
Ahora bien, si la pregunta se pudiera reformular a algo así como "Con qué corriente sintonizas más" (y teniendo en cuenta los reduccionismos fronterizos, las corrientes de época, etc etc) tampoco sería capaz de pronunciarme.
Prueba de la injusticia que cometemos con tales clasificaciones es omitir a un maestro como Hitchcock, el primer moderno, seguramente.
Saludos.
Ahora bien, si la pregunta se pudiera reformular a algo así como "Con qué corriente sintonizas más" (y teniendo en cuenta los reduccionismos fronterizos, las corrientes de época, etc etc) tampoco sería capaz de pronunciarme.
Prueba de la injusticia que cometemos con tales clasificaciones es omitir a un maestro como Hitchcock, el primer moderno, seguramente.
Saludos.

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Para mí el "gran" movimiento cinematográfico es el propio invento del cine. Movimientos todos; unos más importantes, influyentes, determinantes o menos....
Este tipo de reduccionismos me dejan tocaillo. Es como preguntar cual es el movimiento pictórico más importante de la historia..... no sé si me explico.
Este tipo de reduccionismos me dejan tocaillo. Es como preguntar cual es el movimiento pictórico más importante de la historia..... no sé si me explico.
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De hecho, la primera filmación ("Roundhay Garden Scene") se produjo en 1888 y fue dirigida por Louis Le Prince. Como anécdota, la primera filmación de la historia no trajo muy buena fortuna para sus protagonistas, que murieron 10 dias despues de la filmación. El mismo director desapareció 2 años después de la filmación y nunca se supo más de él.cernickalo escribió:Ya, pero es que la encuesta está acotada al siglo XX. La primera proyección cinematográfica es de 1894.RIOfer escribió:Para mí el "gran" movimiento cinematográfico es el propio invento del cine.![]()
Saludos.
Tengo que decir que yo he visto la peli y es realmente buena, se me hizo muy corta

Roundhay Garden Scene en Youtube
Un saludo.
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tethor escribió:De hecho, la primera filmación ("Roundhay Garden Scene") se produjo en 1888 y fue dirigida por Louis Le Prince. Como anécdota, la primera filmación de la historia no trajo muy buena fortuna para sus protagonistas, que murieron 10 dias despues de la filmación. El mismo director desapareció 2 años después de la filmación y nunca se supo más de él.
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Y aquí tenemos la primera filmación sonora. Espectacular calidad para ser de 1906.
First Noising Reduction Filter Ever Made
Un saludo.
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