
Kyuketsu dokuro sen (1968)
Directed by
Hiroshi Matsuno
Also Known As:
The Living Skeleton (USA)
Genre: Horror / Fantasy
Runtime: 81 min
Country: Japan
Language: Japanese
Subs: Chinese, English, French, Italian, Spanish, Portuguese, German and Russian
Color: Black and White
Sound Mix: Mono
Specs: 720x288, DivX5, 1080kbps, MP3, 112kbps
imdb: http://www.imdb.com/title/tt0203635/
I ripped this very classic japanese vampire film, and also did a very good subs work, which included Chinese, English, French, Italian, Spanish, Portuguese, German and Russian. This is Hiroshi Matsuno's only directed work, very cool stuff, if you like gothic film, this is a must-have.
IMDB User Comments: Clearly the inspiration for John Carpenter's "The Fog".
Made a decade before Carpenter's "The Fog", this is clearly that film's inspiration, and what glorious pulp horror it is.
A scar-faced pirate and his cronies gun down a dozen men and several stunningly beautiful women. One woman grips the trouser leg of her killer as she dies, triggering a series of events that will see watery vengeance visited on the miscreants.
This has a mysterious fog surrounding a quiet coastal town, a haunted ship of the dead, a local priest who carries a terrible secret and a ghostly, beautiful woman whose appearances strike fear into the hearts of evil men.
It is made with incredible affection for its subject matter and total sincerity. Not once does it wink at its audience or betray its genre origins. No, it is proud to be a pulp horror film.
Some of the special effects are not exactly believable, but these are part of the key to the film's charm. There is some model work of a ship crossing the ocean shot through clouds that is both incredibly artificial and incredibly beautiful. The "living skeletons" themselves, though not expertly incorporated into the central narrative, are beautiful.
Highly recommended for true lovers of fantastique films.
http://zeni.free.fr/acz/cinema.php3?id= ... 20skeleton
http://eigagogo.free.fr/Critiques/living_skeleton.htm
En dépit de son titre, Living Skeleton est un film de ... vampires. Enfin, un film de vampires japonais. Autant dire que le vampirisme n'a plus grand chose en commun avec la conception occidentale du terme.
Un groupe d'hommes s'empare d'un navire et y massacre les occupants. Quelques années plus tard, les meurtriers sont hantés par des visions du bateau et certains se suicident ou meurent dans des conditions mystérieuses. Lors d'une banale séance de plongée avec son petit ami, la s?ur d'une des victimes découvre de plus les squelettes encha?nes entre eux des victimes. Le prêtre de la petite paroisse où elle réside se révèle n'être nul autre que le chef des meurtriers, qui cache son visage défiguré sous un masque. Ce dernier se rend sur le bateau pour y découvrir l'horrible vérité...
Filmé en noir et blanc, Living Skeleton parvient à instaurer une ambiance de terreur sans forcer. Entre les visions sous-marines des squelettes flottants, les étranges apparitions du vaisseau fant?me et un prêtre qui conserve son secret presque jusqu'au bout, Matsuno Hiroshi mène sa barque sans heurts vers une fin qui, comme souvent dans ce genre de films, sombre dans l'étrange et le délire, voire une certaine confusion. Tandis que le déroulement de la majeure partie du film est assez conventionnel et se fait à un rythme tranquille, la fin s'emballe soudainement. Le prêtre dévoile son identité en enlevant son masque qu'il portait presque 24h sur 24h, cache le corps d'une de ses victimes dans une armure de chevalier après l'avoir déshabillée (pourquoi, on ne sait pas trop) avant que les survivants ne découvrent un professeur fou et la s?ur de Saeko se livrant à des expériences vampiriques sur un bateau qui ne tarde pas à se liquéfier littéralement après que des liquides chimiques du professeur ont été déversés, précipitant la conclusion.
En guise de vampire, c'est plut?t au traditionnel fant?me féminin aux longs cheveux noirs (popularisé par le personnage de Sadako dans Ring) à qui on a affaire, marquant le film d'une patte définitivement japonaise. Il est donc plut?t question de vengeance que de motivations sanguinaires et de besoins somme toute très naturels pour un vampire. Il n'y a d'ailleurs aucune scène du traditionnel su?age de carotide. L'ambiance sobre pendant la majeure partie du film fonctionne à merveille mais est quelque peu gachée par une fin qui en rajoute un peu trop et se révèle quelque peu maladroite et excessivement sensationnelle. Un film qui reste cependant fort agréable et fera le bonheur des amateurs de curiosités.