Antes de nada prefiero contaros un pequeño tormento ( :ains: ): esta peli la bajé de KG para postearla aquí y crear unos sbt en castellano. Hice ambas cosas, pero en un mal momento mi HD externo se fue a hacer puñetas, osea que me quedé sin la peli y sin muchas cosas más, por lo que el enlace de más abajo carece de mi fuente. De todas maneras en emule va bajando, lenta, pero segura.
jeejejjje... si alguien sabe cómo se puede recuperar la info del HD externo soy todo oídos.
jeejejjje... si alguien sabe cómo se puede recuperar la info del HD externo soy todo oídos.
JENNY
Marcel Carné, 1936

Dirección: Marcel Carné
Guión: Pierre Rocher.
Adaptación y diálogos: Jacques Prévert y Jacques Constant.
Fotografía: Roger Hubert, b&n.
Decorados: Jean d'Eaubonne.
Música : Joseph Kosma y Lionel Cazeaux.
Producción : Réalisations d'art cinématographique (Albert Pinkévitch).
Estreno: 18 septiembre de 1936, en Madeleine-Cinéma (Paris).
Duración : 95 minutes.
Premios: Mejor película extrajera (Japón, 1936).
Intérpretes: Françoise Rosay (Jenny Gauthier), Albert Préjean (Lucien Dancret),
Lisette Lanvin (Danielle Bricart), Charles Vanel (Benoît), Jean-Louis Barrault (Le Dromadaire),
Sylvia Bataille (Florence), Margo Lion (Mme Vrack), Roland Toutain (Xavier),
Robert Le Vigan (L'Albinos),René Génin (le pêcheur du bistrot), Roger Blin (le malade solitaire),
Génia Vaury (la jeune femme au chien), Louis Blanche, Raymond Segard (le fiancé londonien),
Daniel Clérice, Joseph Kosma (le joueur d'harmonium), Enrico Glori, Pierre Piérade,
Marcel Mouloudji (le chanteur des rues à Paris).
Sinopsis
Jenny tiene oficialmente una lujosa mansión. En realidad, ese lugar es una mansión de citas y de juegos. Jenny tiene un joven amante con el que se entretiene. Su hija llega a París ignorando la profesión de su madre. En su visita a la mansión, encuentra al joven amante...
IMDb
FilmsdeFrance
[quote]
COMEDIA, 1936 (Fernand Lot)
On n'a pas oublié certain Nogent, Eldorado du dimanche, bande muette qui témoignait des possibilités du jeune cinéma démuni, mais attentif à la vie... Carné n'a pas déçu ceux qui lui faisaient confiance et prouvé qu'il savait aujourd'hui bénéficier de l'abondance de biens, comme il sut jadis s'en passer. Nul n'ignore qu'en art ceci est aussi difficile que cela !.. Un regret pourtant. Pourquoi avoir — encore une fois! — choisi un milieu humain si vil, des héros si peu intéressants?
L'ACTION FRANCAISE, 1936 (François Vinneuil [Lucien Rebatet] )
Marcel Carné signe pour la première fois un film important. Il est normal qu'il soit encore tout imprégné du réalisme amer de M. Feyder. Sa Jenny, par tous les traits de sa mise en scène, appartient à l'atelier de Feyder. On ne songe pas le moins du monde à le lui reprocher. On le félicite au contraire d'avoir su profiter si bien d'un utile enseignement, d'y avoir appris la maîtrise du plateau, le goût du détail sans mesquinerie. Ce débutant paraît vraiment né pour composer des images de cinéma, ce qui est jusqu'à présent chez nous un don assez rare (...), Mais ce qui déçoit, dans Jenny, c'est l'espèce d'inutilité dramatique de cette histoire, hormis les sentiments accessoires que le décor peut inspirer (...). La seule poétique que M. Carné paraisse capable de concevoir pour l'instant, c'est un baudelairisme de brasserie éventé, éculé et qui a traîné sur toutes les banquettes du Montparnasse (...). Je crois justement savoir que M. Carné est de "gauche", pour l'instant du moins. Ainsi Jenny confirmerait tout ce que l'on incline à penser à propos de l'influence déprimante des idéologies socialistes sur les artistes, même lorqu'ils font oeuvre neutre, sur la tristesse qui imprègne tout, la vie quotidienne et les productions de l'esprit dans les époques d'oppression et de chienlit marxiste comme celle que nous sommes en train de subir (sic).
LES NOUVELLES LITTERAIRES, 1936 (Alexandre Arnoux)
L'événement capital de ce début de saison, au moins du point de vue français, c'est certainement Jenny, film qui nous révèle un jeune metteur en scène. Carné, retenez ce nom. Les amateurs avertis ne l'ignoraient pas tout à fait; ils se souvenaient d'un certain Nogent, Eldorado du dimanche, reportage de la banlieue parisienne qui fut présenté, si j'ai bonne mémoire, aux Ursulines en 1929 ou 1930. Cette petite bande pittoresque séduisait par sa fraîcheur, la variété des prises de vues, un sens aigu de l'atmosphère. Elle désignait nettement son auteur à l'attention des maisons de production (...). On perçoit dans ce premier ouvrage sorti de sa main une sensibilité, une sûreté, une entente du cinéma, une force intérieure qui promettent beaucoup. Ou je me trompe fort ou nous tenons un homme de grande classe à qui je souhaite qu'on fournisse seulement l'argent et la liberté. Pour le reste, je le juge de taille à s'en charger lui-même.
Marcel Carné.com
[/quote]

Marcel Carné (París, 1906/1909? - Clarmart, 1996)



Ripeo de unclemeat en KG (merci beaucoup)
Fr - Jenny (1936) - De Marcel Carne, avec Albert Prejean, Lisette Lanvin, Sylvia Bataille - (Film DVD-Rip DivX-5 Comedie Drame Romance par Jlp33).avi 
Subtítulos en castellano (un servidor
)
Subtítulos en francés, gracias a Lavie y pa6sur, en frigorifix
Que la disfrutéis!
Marcel Carné, 1936

Dirección: Marcel Carné
Guión: Pierre Rocher.
Adaptación y diálogos: Jacques Prévert y Jacques Constant.
Fotografía: Roger Hubert, b&n.
Decorados: Jean d'Eaubonne.
Música : Joseph Kosma y Lionel Cazeaux.
Producción : Réalisations d'art cinématographique (Albert Pinkévitch).
Estreno: 18 septiembre de 1936, en Madeleine-Cinéma (Paris).
Duración : 95 minutes.
Premios: Mejor película extrajera (Japón, 1936).
Intérpretes: Françoise Rosay (Jenny Gauthier), Albert Préjean (Lucien Dancret),
Lisette Lanvin (Danielle Bricart), Charles Vanel (Benoît), Jean-Louis Barrault (Le Dromadaire),
Sylvia Bataille (Florence), Margo Lion (Mme Vrack), Roland Toutain (Xavier),
Robert Le Vigan (L'Albinos),René Génin (le pêcheur du bistrot), Roger Blin (le malade solitaire),
Génia Vaury (la jeune femme au chien), Louis Blanche, Raymond Segard (le fiancé londonien),
Daniel Clérice, Joseph Kosma (le joueur d'harmonium), Enrico Glori, Pierre Piérade,
Marcel Mouloudji (le chanteur des rues à Paris).
Sinopsis
Jenny tiene oficialmente una lujosa mansión. En realidad, ese lugar es una mansión de citas y de juegos. Jenny tiene un joven amante con el que se entretiene. Su hija llega a París ignorando la profesión de su madre. En su visita a la mansión, encuentra al joven amante...
IMDb
FilmsdeFrance
Código: Seleccionar todo
File Name .........................................: Jenny (Marcel Carné - 1936) - JLP33.avi
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COMEDIA, 1936 (Fernand Lot)
On n'a pas oublié certain Nogent, Eldorado du dimanche, bande muette qui témoignait des possibilités du jeune cinéma démuni, mais attentif à la vie... Carné n'a pas déçu ceux qui lui faisaient confiance et prouvé qu'il savait aujourd'hui bénéficier de l'abondance de biens, comme il sut jadis s'en passer. Nul n'ignore qu'en art ceci est aussi difficile que cela !.. Un regret pourtant. Pourquoi avoir — encore une fois! — choisi un milieu humain si vil, des héros si peu intéressants?
L'ACTION FRANCAISE, 1936 (François Vinneuil [Lucien Rebatet] )
Marcel Carné signe pour la première fois un film important. Il est normal qu'il soit encore tout imprégné du réalisme amer de M. Feyder. Sa Jenny, par tous les traits de sa mise en scène, appartient à l'atelier de Feyder. On ne songe pas le moins du monde à le lui reprocher. On le félicite au contraire d'avoir su profiter si bien d'un utile enseignement, d'y avoir appris la maîtrise du plateau, le goût du détail sans mesquinerie. Ce débutant paraît vraiment né pour composer des images de cinéma, ce qui est jusqu'à présent chez nous un don assez rare (...), Mais ce qui déçoit, dans Jenny, c'est l'espèce d'inutilité dramatique de cette histoire, hormis les sentiments accessoires que le décor peut inspirer (...). La seule poétique que M. Carné paraisse capable de concevoir pour l'instant, c'est un baudelairisme de brasserie éventé, éculé et qui a traîné sur toutes les banquettes du Montparnasse (...). Je crois justement savoir que M. Carné est de "gauche", pour l'instant du moins. Ainsi Jenny confirmerait tout ce que l'on incline à penser à propos de l'influence déprimante des idéologies socialistes sur les artistes, même lorqu'ils font oeuvre neutre, sur la tristesse qui imprègne tout, la vie quotidienne et les productions de l'esprit dans les époques d'oppression et de chienlit marxiste comme celle que nous sommes en train de subir (sic).
LES NOUVELLES LITTERAIRES, 1936 (Alexandre Arnoux)
L'événement capital de ce début de saison, au moins du point de vue français, c'est certainement Jenny, film qui nous révèle un jeune metteur en scène. Carné, retenez ce nom. Les amateurs avertis ne l'ignoraient pas tout à fait; ils se souvenaient d'un certain Nogent, Eldorado du dimanche, reportage de la banlieue parisienne qui fut présenté, si j'ai bonne mémoire, aux Ursulines en 1929 ou 1930. Cette petite bande pittoresque séduisait par sa fraîcheur, la variété des prises de vues, un sens aigu de l'atmosphère. Elle désignait nettement son auteur à l'attention des maisons de production (...). On perçoit dans ce premier ouvrage sorti de sa main une sensibilité, une sûreté, une entente du cinéma, une force intérieure qui promettent beaucoup. Ou je me trompe fort ou nous tenons un homme de grande classe à qui je souhaite qu'on fournisse seulement l'argent et la liberté. Pour le reste, je le juge de taille à s'en charger lui-même.
Marcel Carné.com
[/quote]

Marcel Carné (París, 1906/1909? - Clarmart, 1996)



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Que la disfrutéis!