C'est pas moi, je le jure! (Philippe Falardeau, 2008) DVDRip VOSI

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botibol
Dum Dum
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C'est pas moi, je le jure! (Philippe Falardeau, 2008) DVDRip VOSI

Mensaje por botibol » Jue 13 May, 2010 02:55

Imagen
C'est pas moi, je le jure!
(Yo no he sido, ¡lo juro!)
(Québec, 2008) [Color, 105 min.].
Ficha técnica:
Director: Philippe Falardeau
Guión: Philippe Falardeau (Adaptación de la novela de Bruno Hébert)
Música: Patrick Watson
Fotografía: André Turpin
Reparto: Antoine L'Ecuyer (Léon), Suzanne Clément (Madeleine, la madre), Daniel Brière (Philippe, el padre), Gabriel Maillé (Jérôme, el hermano), Catherine Faucher (Léa), Denis Gravereaux (Sr. Pouchonnaud), Micheline Bernard (Sra. Brisebois), Jean Maheux (Monseigneur Charlebois).
PRODUCTORA micro_scope

Trailer:
[video]http://www.youtube.com/watch?v=NZXhFNGPSY0[/video]


Sinopsis:

Leon tiene 10 años, y un exceso de imaginación que le ha causado no pocos problemas. Cada verano, provoca situaciones peligrosas de las que se salva de morir milagrosamente. Por añadidura, sus padres no paran de discutir, y su vecina Léa es una sabelotodo que le saca de quicio. Durante el verano de 1968, su madre deja el hogar para empezar una nueva vida en Grecia. A partir de entonces inventa travesuras cada vez más disparatadas con el fin de escapar del dolor que le ha causado la partida de su madre. Travesuras que incluyen el robo, el vandalismo y, por qué no, enamorarse locamente de Léa. Una película agridulce que nos habla de asuntos tristes, pero con humor.

Comentario:

Otra peli muy recomendable para la filmo de infancia y adolescencia autogestionada, en este caso dentro de la interesante producción de Québec, una cinematografía que también presta especial atención a la chavalería. Como ya la ví hace tiempo, le dejo la palabra a la alumna de un cole asturiano que la vió en su pase en Gijón dentro de la sección de Enfants Terribles:
La película que voy a comentar es "C'est pas moi, je le jure". La película se presentó en el pasado festival de Cine de Gijón en horario para escolares y nuestra seño de francés nos llevó a ver la película, que duró desde las diez de la mañana hasta las 12 del mediodía. La película nos gustó mucho y la disfrutamos.

Se presentó en versión original subtitulada en castellano, aunque el francés de Canadá era algo incomprensible. La película es francófona, ya que se rodó en la zona de Quebec, donde se habla francés. El francés de Canadá presenta muchas variaciones con respecto al francés que se habla en Europa. Por ejemplo, la fonética es similar a la del inglés de Estados Unidos o el "pas" de la negación lo pronuncian como "po".

Una obra maestra es cómo se podría calificar a esta película. Un excelente guión del propio director y unas brillantes interpretaciones de los actores, sobre todo de los intérpretes más jóvenes. La historia me hizo reír y llorar a la vez.
Spoiler: mostrar
Tenía momentos graciosos como la escena en la que el joven protagonista se colaba en la casa de uno de sus vecinos y le meaba en el armario; así como momentos tristes como cuando Léa iba a una casa a buscar a su padre y la señora le dice que no vive en su casa, entonces Léa se pone a llorar como una magdalena.
Tal vez la historia me recuerda muchísimo a la serie infantil Daniel el Travieso, dado que León guarda muchas similitudes con él, aunque la película es mucho más dramática y más adulta que la serie infantil de Daniel el Travieso.
Y a dos señores críticos de profesión que vienen a decir lo mismo pero en plan mas colocao:
Philippe Falardeau n’est manifestement pas un homme nostalgique. L’histoire de C’est pas moi, je le jure ! a beau être campée à la fin des années 60, aucun épanchement de cette nature ne vient marquer cette vision d’enfance, bouleversée par le départ d’une mère.

Adapté des romans de Bruno Hébert C’est pas moi, je le jure ! et Alice court avec René, le nouveau film de Falardeau, qui signe seul le scénario de cette adaptation, relate le parcours de Léon (Antoine L’Écuyer), un gamin angoissé de 10 ans. Ce petit garçon est une véritable bombe à retardement. Alors que l’été commence – et avec lui les beaux jours de vacances et le temps pour soi –, Léon est sauvé in extremis par sa mère au moment il passe à deux doigts de se pendre accidentellement. Des épisodes aussi inquiétants ont aussi eu lieu au cours des étés précédents, soit dans la piscine, soit dans le congélateur. Autrement dit, le petit Léon est doté d’une imagination fertile qui, parfois, le fait agir de manière un peu plus imprévisible que les autres. Avec, toujours, cette attirance un brin morbide vers des actes à teneur suicidaire.

En cet été 1968, le destin s’apprête pourtant à basculer. Les parents (Suzanne Clément, Daniel Brière) s’engueulent en effet peut-être un peu plus fort que d’habitude. Quand la mère décide de partir seule en Grèce pour y refaire sa vie, une douleur nouvelle doit alors être sublimée. Et c’est là où Falardeau imprime sa marque de créateur. D’un sujet en apparence très dramatique, voire tragique, l’auteur cinéaste tire un film à la fois tendre, espiègle, et touchant. Parce que maintenu à hauteur d’enfant. Après La moitié gauche du frigo et Congorama, où la rationalité du propos prenait parfois le pas sur l’émotion, Falardeau s’abandonne ici à une démarche plus incarnée, sans toutefois perdre la mesure de ses effets. On sent ici cette volonté très nette de ne jamais verser dans l’enflure, tant dans cette façon de ne rien céder au mélo, que dans la manière avec laquelle l’époque est reconstituée. En fait, tout est ici plus suggéré qu’imposé.

Le récit est par ailleurs soutenu par les très belles chansons originales de Patrick Watson, lesquelles font écho au monde intérieur du protagoniste. Le petit Antoine L’Écuyer, sur qui repose pratiquement la crédibilité du film, module de son côté – et plutôt magnifiquement – une partition complexe de laquelle il tire toujours les justes notes. Suzanne Clément se glisse dans la peau d’une mère atypique avec son talent habituel, et Daniel Brière rend bien toute la colère contenue d’un père visiblement dépassé par les événements. Le trio est bien appuyé par de beaux personnages périphériques, dont certains se révèlent criants de drôlerie et de vérité.

Ainsi, C’est pas moi, je le jure ! se positionne de manière différente par rapport à Maman est chez le coiffeur, le film que Léa Pool a tiré de la même histoire familiale, à partir d’un scénario écrit par Isabelle Hébert, la soeur de Bruno. Le souvenir de l’un influe forcément la perception de l’autre au départ, mais ces deux visions se distinguent quand même assez vite, tant dans l’esprit que dans la facture. L’apanage de bons cinéastes en somme.
:arrow: http://moncinema.cyberpresse.ca/nouvell ... uteur.html
The other day I was talking to a bunch of fellow parents about Philippe Falardeau’s wonderful new film C’est pas moi, je le jure! and, in a rather lame attempt to give a sense of what the film’s like, I said it was a very funny movie about a kid who keeps trying to kill himself. I went on to mention that the first scene shows little Léon attempting to hang himself from a tree in front of his house.

As you might imagine, the parents I was talking to looked at me like I was deranged and it goes without saying that they weren’t entirely convinced that the film was something they’d like to see. Well you know what – they should. And so should you.

From his sly comic take on what it’s like to be on the dole in La Moitié gauche du frigo, his first film, to his slightly convoluted portrait of a Belgian man searching for his family roots in rural Quebec in Congorama, there has always been a deep humanism to Falardeau’s work and that’s the case once again here. But what’s different about this ultra-talented Montreal filmmaker’s third feature is that there’s a new-found accessibility.

In some ways, it’s a simple story. Based on two novels from Quebec author Bruno Hébert – C’est pas moi, je le jure! and its follow-up Alice court avec René – it’s a snapshot of the summer of 1968 in the life of one particularly troubled 10-year-old boy, Léon (the just-amazing Antoine L’Écuyer), who, as you heard, has an unfortunate tendency to inflict damage on himself. Did we also mention that he’s a pathological liar, thief and vandal?

Near the start, he breaks into the house of his vacationing neighbours and ransacks the place from top to bottom. Falardeau has said that what he likes about Léon is that he’s not a victim; that he brings unhappiness on himself. And that’s true. But he does have a little help from his terribly dysfunctional parents – his cold, distant human-rights lawyer of a dad (Daniel Brière) and his warmer-but-totally-unhappy mother (Suzanne Clément), who eventually decides she can’t take another second of this suffocating suburban existence and flees to the Greek islands. Unsurprisingly that sends Léon around the bend.

L’Écuyer, who has virtually no acting experience, is simply sensational and, given that he’s in almost every frame of the picture, he carries the thing. But the supporting players are no slouches either, from Catherine Faucher as the girl down the street who is nearly as bent as Léon to Clément as the mom who shares her son’s taste for rebellion.

Falardeau and his crew get the period detail just right, André Turpin has shot it with his usual panache, and, as if all that isn’t enough, the soundtrack features some fine new ethereal pop gems from local singer-songwriter Patrick Watson. Following on the heels of Maman est chez le coiffeur and Un été sans point ni coup sûr, this is the third québécois film in the past few months to take us back to look at the emotional rites of passage of kids living in late ’60s Quebec, and all three feature families with dads who have great difficulty communicating with their children. Why are these films all arriving now? I’ll leave that one to greater minds to grapple with.
:arrow: http://www.canada.com/montrealgazette/n ... 0f487b26ee
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Versión DVDRip --.


Enlace ed2k:


ed2k linkC'est pas moi je le jure.avi ed2k link stats


Subtítulos (descarga directa): inglés /

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Capturas:
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De nuevo lamentablemente no he encontrado subtítulos en castellano. Esperemos que no tarden mucho en aparecer. La peli tiene montón de fuentes-alrededor de 300- y baja en cuestión de horas.

Saludos.

punkysalvaje
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Re: C'est pas moi, je le jure! (Philippe Falardeau, 2008) DVDRip VOSI

Mensaje por punkysalvaje » Jue 13 May, 2010 13:02

Pinchada, muchas gracias.

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botibol
Dum Dum
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Registrado: Vie 28 Ene, 2005 01:00

Re: C'est pas moi, je le jure! (Philippe Falardeau, 2008) DVDRip VOSI

Mensaje por botibol » Jue 13 May, 2010 13:49

Se me olvidó comentar que hay una posibilidad un tanto remota de conseguir subtítulos, ripeándolos de la emisión del canal internacional de satélite TV5Monde, en el cual se emite esta peli con subtítulos en castellano que van aparte en las emisiones "Digital Video Broadcasting", pero no estoy seguro de que esto se pueda hacer, ni de que vayan a echar mas veces la peli, en la web dice: C'EST PAS MOI, JE LE JURE ! Idioma(s) de los subtitulados :portugués (DVB) español (DVB), y la última emisión "Programme information for 'C'est Pas Moi, Je Le Jure!' on TV5MONDE at 5:35pm March 23rd, 2010".

En fin, por comentarlo no se pierde nada.

mot
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Re: C'est pas moi, je le jure! (Philippe Falardeau, 2008) DVDRip VOSI

Mensaje por mot » Dom 16 May, 2010 18:54

Gracias.